Les vitrages sont toujours le point faible dans l’isolation d’une maison, c’est là où la déperdition de chaleur reste importante. Avec au mieux une
résistance thermique de 0,6, ce coefficient est de 10 fois inférieur à celui des murs les mieux isolés.
Un vitrage simple en 0,5 cm d’épaisseur à un R = 0,004.
Avec des fenêtres à double et triple vitrage, on arrive aujourd’hui à un R de 0,6 et ce coefficient est de 10 fois inférieur à celui du mur parfaitement isolé qui va l’accueillir.
Mais cet investissement reste rentable et même en considérant qu'il faudra les remplacer sous 15 à 20 ans pour que les joints restent efficaces.